– je crois maintenant qu’en gros ce ne sont pas les bactéries et co qui luttent contre nous, mais ils luttent … entre eux. Ce n’est pas – en gros – les trop de bactéries qui nous sont dangereux, mais … un déséquilibre entre eux.
– je crois que dans la nature, tous les sortes de bactéries ont leur sens, parce qu’elles ont trouvé quelque part un nid de survie, veut dire, un nid qui leur est favorable, autrement dit, où on a besoin d’eux. La différence: toutes les bactéries ne sont pas bons pour l’homme, et certaines lui sont franchement nuisibles.
– je crois que la grande Nature – oui, celle avec un grand N – et que seulement Big Pharma ose contrarier (nous, on adore la nature), donc elle a aussi prévu de nous traiter nous, les humains, comme n’importe quel autre « truc » qu’elle gère, veut dire, elle a prévu l’arme pour nous éliminer, si on piétine trop son ordre, veut dire, son équilibre entre tous les « trucs » (avec leurs bactéries correspondantes).
Ce sont les bactéries entre eux qui définissent les niches de biodiversité, ils régulent entre eux la nature, nous on fait part de leur strate de survie, on est leur nid dans lequel ils se nichent. Et ils défendent leur nid, la différence est seulement, POUR QUELLE SORTE nous sommes un nid.
– je crois que, si on nous avait fichu la paix avec tous ces antibiotiques, on serait autrement vaccinés, on ne se serait pas laisser injecter un mix dégueulasse dont personne n’a le droit de connaitre la recette (puisque le capitalisme est mieux protégé que les humains – sur décision de notre élite, qui est élu sur notre décision de vote – vote de nous les riens et les riennes).
– je crois donc que plus mes bactéries ont fait la paix entre eux en ce qui concerne leur support – moi – mieux je me porte. Et plus ce mix est varié, mieux il peut me défendre. C’est son équilibre qui me protège. Y inclus leur rencontre avec ceux qui me sont nuisibles, puisque mes bactéries doivent s’entrainer tous les jours un peu contre ce qui ne va pas avec leur nid douillet – oui, moi.
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affiche suspendue à l’arrière de la station d’épuration de la ville de Genève, en Suisse.